Les lavandières.

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins
il y a 6 ans

Comme tous les jeudis, Hélène, Marguerite, Andréa, Simone, et Line, vont au lavoir, laver leur linge. Elles ont toutes entre soixante et soixante cinq ans.

Chacune y va de sa blague, surtout concernant l’anatomie des hommes, ou sur les derniers potins, les derniers bruits de couloir.

-Il parait que Michel, le mari de Francine, a un tout petit oiseau, dit Simone.

-C‘est pour ça qu’elle se fait sauter par Guy, deux ou trois fois par semaine, poursuit Line.

Une fois la lessive terminée, elles étendent leur linge dans le pré, tout près du lavoir. En attendant qu’il sèche, ces dames se mettent en culotte et soutien-gorge, et plonge dans le bassin. On entend des petits cris quand l’une pince les fesses de l’autre, ou quand Andréa coince Marguerite dans un coin du bassin, glisse une main dans sa culotte, et lui met un doigt dans la chatte. Marguerite se branle sur ce doigt qui la rend folle.

Pour passer le temps, ces sexagénaires jouent à « attrapes moi si tu peux ». Et si par malheur, une se fait attraper, elle est illico débarrassée de sa culotte et de son soutien-gorge, et doit se soumettre à celle qui l’a mise toute nue. Certaine se font branler la chatte jusqu’à l’orgasme.

-Oh oui salope, gémit Line, enfonce bien tes doigts dans mon minou…fais moi jouir…

-T’aimes ça, hein, c’est mieux qu’avec ton mari. Ta chatte est pleine de mouille, dit Simone.

Pendant ce temps, Andréa, de loin la plus vicieuse, coince Marguerite dans un coin du bassin. Elle a fait de Marguerite son objectif, veut qu’elle soit son jouet sexuel. Elle lui quitte sa culotte, glisse la brosse à linge entre ses cuisses, et lui frotte la chatte.

-Aie…mais t’es folle, se plaint Marguerite, tu vas arracher mon clitoris…

-Mais non, mais non ma chérie…j’ai trop envie de toi pour te faire mal.

Un jour, Michel, qui faisait du jogging, s’arrête pour leur dire bonjour. Il est vêtu d’un short ample, et d’un tee-shirt. Il est surpris de voir ses dames d’un certain âge, seins nus.

-Bonjour mesdames, dit-il poliment, belle journée.

-Bonjour, petite bite, dit Hélène, on promène pendant que sa femme se fait baiser ? Tiens, tu peux m’aider à sortir.

Hélène lui tend la main. Michel ne sent pas le piège arriver. Gentiment, il saisit la min, et est brutalement attiré dans l’eau. Dans les secondes qui suit, son short est projeté dans

l’herbe. Il pousse un cri de douleur.

-C’est vrai qu’il a un petit oiseau, dit Hélène, je tiens ses petits œufs dans ma main. Ca fait tout drôle…et cette petite nouille, c’est quoi ? Je comprends maintenant pourquoi ta femme se fait baiser par Guy.

-Je sais, pleure Michel, sa queue est plus grosse que la mienne. Et ma femme aime bien l’avoir dans sa chatte. Il l’a fait jouir chaque fois qu’il l’a baise.

Michel essaie de s’enfuir, grimpe sur le rebord du bassin, un genou sur le bord, l’autre jambe qui pend dans le basin. Dans cette position, il est vulnérable. Hélène envoie une main, et attrape ses petits glaouis. Le cri de douleur résonne jusque dans la forêt.

-Arrêtes, sourit Simone, tu sais bien que les hommes n’aiment pas quand une femme leur attrape leurs petites couilles. Ils ont mal, on l’est fait pleurer.

Mais Hélène n’en reste pas la. Elle se procure une pierre de savon, et une brosse à linge. Elle entraine Michel sous une petite cascade qui alimente le bassin.

-Tu as du transpirer, dit-elle, une bonne doche te feras le plus grand bien. Surtout ta quéquette, je vais bien la décalotter.

Elle le savonne de la tête aux pieds, n’épargne rien. Michel hurle de douleur quand elle lui nettoie ses petites couilles, et son petit sifflet avec la brosse, jusqu’à ce que son gland soit tout rouge.

-Aie…aie…assez, vous me faites mal…

Hélène le pousse sous la cascade, afin qu’il puisse se rincer. Ensuite, elle le sort de dessous l’eau, en le tirant par son petit oiseau. Elle le sèche en insistant sur un endroit précis de son anatomie.

-Allez, dit Hélène en libérant ses petites couilles, va, petite bite, va voir ta femme se faire baiser par son amant…et fais gaffe, faudrait pas qu’il est envie de t’enculer.

Michel s’en va en couinant comme un petit chiot, en tenant son petit zob.

Après cet intermède érotique, et jugeant qu’elles avaient assez joués, les lavandières ramassent leur linge, et remonte le pré. Du fait de l’humidité de leurs sous vêtement, suite à la baignade, elles sont nues sous leur robe.

C’est ce qu’espérer Andréa, qui choisi ce moment, pour culbuter Marguerite dans l’herbe. Elle lui arrache littéralement sa robe.

-Depuis que j’attends ce moment, dit Andréa, j’ai trop envie de jouer avec toi.

-Non, s’il te plait, pas ma chatte…elle va être toute mouillée après…

-T’inquiètes ma chérie, je la sècherais avec ma langue, jusqu’à ce que tu jouisses. Tu vas voir comme tu vas aimer.

-Oh mon dieu, je suis toute écartée…hou…qu’est-ce que tu fais à mon clito.

-Je te l’ai bien décalotté ma chérie, il faut bien qu’il prenne l’air lui aussi, il est si gros. Si tu voyais comme il est rouge. Tu sens comme je te le doigte.

-Oh oui je le sens…c’est bon, vas-y, branles moi, fais cracher ma petite chatte…hou…hou…

Margueritte se cambre sur ses pieds quand elle atteint l’orgasme. Andréa toise sa proie, en vainqueur. Puis, comme promis, lui bouffe la chatte.

Dans haut, les lavandières entendent crier Marguerite, qui en est à son deuxième orgasme. Pour asseoir sa supériorité, Andréa lui donne même une fessée.

Les lavandières rentrent enfin au village, leur corbeille à linges sous le bras. Margueritte et Andréa marchent en queue du groupe. Andréa a glissé sa main libre sous la robe de Marguerite. Marguerite se trémousse, glousse de plaisir.

-Tu aimes que je te mette un doigt dans la chatte, n’est-ce pas ma chérie.

-Oh oui, j’aime…laisses le s’il te plait, bouges le…

-Vas-y trésor, sourit Andréa, laisses toi aller…je vais te faire jouir…tu sais quoi, tu vas venir coucher à la maison cette nuit. On aura tout le temps pour faire l’amour.

Les lavandières tracent leur chemin, quand elles entendent des bruits provenant de la grange de Michel.

-Tu vas obéir oui, gronde une voix. A quatre pattes je t’ai dit…et vite.

-D’accord, d’accord, mais ne fais pas mal…aie…non, ne m’encules pas…aaaiiieee…

Curieuses, elles avancent jusqu’à la grande porte en bois. Elles voient Guy en train de sodomiser Michel. Celui-ci hurle de douleur. Impassible, Francine, assise sur un billot de bois, assiste à la saillie de son mari.

-Alors mon chéri, dit-elle, c’est bon de se faire enculer par la grosse queue de mon amant.

-S’il te plait, dis lui d’arrêter…c’est vrai quelle est grosse…ah…ah…

-Mais non, tu vas voir, tu vas aimer…on dirait que ça commence, je me trompe ?

-Non…c’est vrai que c’est bon d’avoir une grosse bite dans le cul.

-Ou veux-tu qu’il pose ses œufs…dans ton ventre, ou dans ta bouche…non, finalement, je choisi ta bouche. Tu vas bien le sucer, et tout avaler, d’accord.

Guy pousse un râle de plaisir, quand il vide copieusement ses grosses couilles au fond de la gorge de Michel. Gourmand, celui-ci avale tout, et lèche le gland jusqu’à la dernière goutte.

Tout cela a excité Simone et Line, les rescapées du lavoir. Elles ôtent leur robe, et se couchent dans la paille. Elles se gouinent une partie de la nuit, un vrai combat de chattes.

Elles fendent la nuit de leurs cris de plaisirs.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement